Militaire, Oui Mais Histoire Complet
Je suis entré très jeune à larmée, soit à seize ans à peine !..
Je métais engagé, pensant que japprendrais là des choses plus intéressantes quauprès de mes trois surs
Javais déjà eu plusieurs expériences sexuelles avec des copains du Patro, mais à larmée, jallais apprendre vraiment des choses plus, comment dire
« hard », peut-être ?
Les premiers soirs au centre pour recrues auquel javais été versé, je faisais encore mes prières au pied de mon lit, naïvement, pensant devoir « donner lexemple » de ce quétait ma Foi. Après tout, pourquoi ne pas être soi-même ?
Cela en faisait rire plus dun, évidemment
Un des gars de ma chambrée me suivi un soir alors que jallais aux toilettes, avant de me coucher
Arrivé aux toilettes, au bout du couloir, il se mit ostensiblement à côté de moi, exhibant un engin imposant, pissant comme moi, mais bandant méchamment
- Alors, l de chur, me dit-il, que penses-tu dune belle bite comme ça ?
Bien quun peu gêné, je ne pouvais détacher mes yeux de la queue appétissante qui soffrait ainsi à mes yeux ébahis
ce qui fit dire au gars :
- Elle te fait envie hein ? Fais voir ce que tu caches là
Et ce disant, il me retournait vers lui, se rendant compte que javais terminé, moi aussi de pisser, mais ne pouvait me décider à partir
- Oh, mais ce petit engin ne demande quà grandir, sûrement ?
Et sagenouillant devant moi, il se mit à sucer ma petite queue
qui se mit à grandir rapidement dans cette bouche accueillante ! Je faisais donc là ma première expérience du genre à larmée !...
Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse dans la bouche de lobligeant soldat qui mapprenait ainsi que je nétais pas le seul homo de la chambrée !...
Voyant que javais eu mon plaisir, mon camarade, se relevant, appuya sur ma tête me disant : « A ton tour !... », et me voilà avec une queue énorme dans la bouche, lautre allant et venant au rythme de son désir qui semblait violent
qui métouffait littéralement, car il allait bien au fond de ma gorge à chaque mouvement de va et vient !.
Tout à coup, je sentis un flot mimmerger, et je neus que la possibilité de tout avaler si je ne voulais pas tout à fait !
Heureusement que cétait bien des années avant lapparition du Sida, car je noserais plus faire pareil aujourdhui
Mon camarade, qui me dit sappeler Michel, me dit que je devais revenir là le lendemain à la même heure et que
je pouvais bien aller faire mes prières au pied de mon lit à présent !
De honte, je nai plus fait ces prières ostensiblement, même si je priais encore dans mon lit, tout seul dans le noir
accompagné des respirations dune vingtaine de camarades.
Evidemment, je suis retourné souvent au rendez-vous du soir de Michel,
mais ceci est une autre histoire !
Si vous avez aimé celle-ci, je pourrais vous en raconter dautres de ce temps-là ? Plus véridiques les unes que les autres, dailleurs
Il suffit de demander !
Quelque temps plus tard, Michel et moi avions été versés dans le même Régiment, en Allemagne. Or nous étions en exercice, pour deux jours, sur la plaine de manuvres... où nous devions ramper dans la boue bien fraîche de la pluie qui tombait encore !
Le soir, au bivouac, avant un repas bien chaud quon nous apportait heureusement de la caserne, nous navions quune chose à faire pour nous débarrasser de cette boue collante : nous laver entièrement, et faire sécher nos affaires pour le lendemain, après avoir rincées nos tenues de camouflage, soi-disant imperméables
Oui da ! Nous étions là-dessous comme des soupes, et les douches, installées rapidement entre quelques toiles de tentes, étaient les bienvenues.
- Allez, tout le monde à poils, et plus vite que ça ! hurlait le Sergent qui avait sans doute envie de se rincer lil gratuitement ?
Et, en effet, il passait linspection des soldats sortant de la douche linstant daprès. Jattendais en faisant la file comme tout le monde, avec Michel dans mon dos qui me caressait de sa bite, comme si de rien nétait,
ce qui mexcitait malgré moi, me faisant bientôt bander comme un taureau !
Le Sergent, qui surveillait la file entrante comme la file sortante, saperçut vite de la chose, et son regard sembla sallumer
me regardant dans les yeux dun air goguenard, sans rien dire, sur le moment.
Après la douche et le souper, vint le temps de monter les tentes pour la nuit. Dans ce temps-là, chaque militaire possédait une demi toile de tente, quil fallait nécessairement coupler à une autre, pour retrouver un couple de soldats chaque fois abrités
Linventeur de cette solution aurait été pédé que cela ne métonnerait pas car, comment favoriser mieux des
expériences de toutes sortes sous ce genre de tentes ?
Toujours est-il quau moment où Michel et moi nous apprêtions à joindre nos deux bouts de tentes, le Sergent mappela :
- Vous là-bas !... Venez ici et mettez votre tente avec la mienne, car je nai pas de partenaire, le Caporal étant malade !
- Bien Sergent !... était la seule réponse possible, et après un bref coup dil moqueur de Michel, je me rendis à lordre du Sergent
tandis que Michel navait plus quà trouver un autre copain !
Le soir venu tout à fait, le couvre-feu nous fit nous installer dans les tentes, sous une température redevenue clémente entre temps : nos vêtements seraient secs le lendemain.
Le Sergent, un grand gaillard qui était réputé avoir fait la guerre de Corée avec les paras, se déshabilla sans aucune pudeur, et se coucha très vite, nu comme un ver sous sa couverture
Moi, javais gardé mon slip, me disant que cétait quand même « plus convenable », non ?
A peine couché, je sentis deux mains me caresser la poitrine, très doucement, puis mamuser les tétons jusquà ce quils durcissent, et une puis une main descendre doucement, très doucement vers mon slip
Arrivé là, un doigt, puis deux sintroduisent dessous, cherchant quelque chose, semblait-il
quils eurent vite fait de trouver car cet exercice mavait fait réagir très vite, et je bandais déjà comme un taureau !
- Voyez-vous ça !... entendis-je dans le clair obscur de la tente, tandis que le Sergent sapprochait encore de moi
en me tirant littéralement contre lui : il était dune force herculéenne, et semblait bâti de même ! Il était beau comme un dieu grec !.
Nous étions relativement près dun grand feu que nous avions fait tout à lheure, et ses flammes encore hautes, non seulement nous réchauffaient, mais nous éclairaient aussi
Ecartant sa couverture, japercevais maintenant, malgré lobscurité relative, un corps magnifique, assez poilu, dont émergeait tout contre moi un vît énorme, bien que très fin tout de même.
Le Sergent ne se fit pas prier pour engloutir dans une bouche pleine de douceur, chaude à souhait, mon gland
qui nattendait que cela !
Le Sergent, semblant sucer un sucre dorge, grognait avec beaucoup de plaisir semblait-il
ce dont je ne me plaignais aucunement.
Entre temps, ses mains me caressaient partout, me faisant gémir de plaisir à mon tour, ce que voyant, le Sergent sapprochant de ma tête, me dit simplement : « Sois silencieux, soldat ! », avant dempêcher une quelconque réponse en membrassant avec fougue, ma langue fourragée par une autre, très dure et possessive, qui bientôt quitta ma bouche pour se promener sur tout mon corps
quil explora encore plus facilement en mettant mes jambes par-dessus ses épaules, en me bouffant le fion !...
Aaah, cette langue !...
Je devais mempêcher de gémir, puisque jen avais reçu lordre, mais elle me rendais littéralement fou et bientôt, comme il sy attendait sans doute, le Sergent, avalant ma queue à nouveau, récolta ma liqueur de jeunesse dont il sembla se délecter avec beaucoup de plaisir !
Je nen avais pourtant pas fini avec lui car, la bouche encore pleine de moi, il retourna à mon anus encore vierge pour le lubrifier à plaisir
avant dy introduire doucement un doigt, puis deux sans doute ? Le plaisir quil me procurait ainsi métait inconnu jusque là et, quand dun léger coup de rein, ce fut son gland qui remplaça ses doigts, jétais prêt comme il le souhaitait pour le grand jeu
Dès lors, son lent va et viens me fit connaître un plaisir, nouveau pour moi, dont je ne soupçonnait pas lexistence.
A peine remis de mes émotions, le sentis à nouveau la langue du Sergent me boire, de façon à ne laisser aucune trace sur nos couvertures des ébats de la nuit
ce qui me fit encore de leffet !
Nuit bénie où je rencontrai ce Sergent pour la première fois, bien sûr suivie de beaucoup dautres.
Mais cest là une autre histoire
que je vous conterai, peut-être ?
Après les courtes manuvres durant lesquelles javais eu loccasion de connaître mon Sergent sous un autre jour, nous étions rentrés à la caserne depuis deux jours quand je me sentis un peu malade
Conduit à linfirmerie, je constatai que nous étions trois recrues à avoir pris un léger refroidissement, et que nous étions légèrement fiévreux tous trois, mais pas du tout gravement. Nous avons été examinés par le médecin militaire qui, prudent, nous consigna à linfirmerie pour une semaine
Très gentiment, le Sergent était venu nous voir et nous avait parlé dune manière martiale, comme à son habitude, mais en madressant cependant un clin dil à part des autres
Mes deux copains sappelaient Jacques et Damien, et ils avaient tous deux dix-huit ans, soit lâge habituel dun militaire. Moi, engagé pour cinq ans dès mes seize ans, tout en étant considéré majeur comme tous les autres militaires, jétais tout de même partout le plus jeune de la bande. Certains autres engagés de notre groupe avaient parfois jusquà la trentaine
cest dire sil nétait pas rare que je sois un peu leur « tête de turc », à cause de mon âge.
Ici à linfirmerie, nous étions donc juste trois jeunes gens un peu fiévreux, mais qui, nayant rien de bien grave, se trouvaient beaucoup mieux dès le second jour.
Les journées étaient longues, mais nous parlions les uns et les autres de ce que nous faisions avant de nous engager
Jacques faisait des études de dessinateur industriel, mais un revers de fortune de ses parents lavait conduit à sengager sans autre retard pour être indépendant.
Damien, fils de fermier, avait laissé ses deux frères aînés aider leur père à la ferme, tandis que lui, qui avait toujours rêvé de gloires militaires sengageait.
Je leur racontai que moi-même, orphelin de père, jen avais eu marre dêtre toujours entouré de quatre femmes, ma mère et mes trois surs, et quainsi je métais engagé plus tôt quhabituellement, mais jugé « apte » par le centre de recrutement
- Ca ne métonne pas ! me dit Jacques. Un jeune et beau gars comme toi, ils allaient pas rater de tengager !
Jétais flatté que Jacques me trouve beau
Peut-être étais-je à son goût ? Lui-même était joli garçon et lidée que nous pourrions profiter pour faire plus ample connaissance, cette nuit par exemple, mexcitait déjà
Mon lit était placé tout près de celui de Jacques, tandis que Damien était en face de nous, le quatrième lit restant libre.
Le soir venu, tandis que Damien était déjà endormi et que Jacques se retournais nerveusement dans son lit, je marrangeai pour me découvrir suffisamment pour que ce dernier puisse découvrir une part bonne part de mon anatomie
Mon pyjama ouvert sur ma poitrine, et la braguette quelque peu béante, il pouvait être tenté pour une approche
ce que jespérais évidemment de tout cur !*Je métais presque endormi dans cette position lascive, quand je perçu un léger mouvement sur ma droite. A travers mes cils mi clos, japerçu Jacques à mon chevet, semblant hésiter à me toucher, ce quil fit pourtant très doucement,approchant sa main de cette braguette tentante où une toison noire lenvoûtait visiblement.
Cette main se fit chercheuse
et trouva une queue dont le méat était déjà humide de désir ! Sans plus dhésitation, il se mit à me masser le gland avec son pouce, très doucement, profitant de cette excrétion pour me huiler tout le gland, tandis que, doucement ma queue se dressait de désir, me faisant à présent gémir doucement dans mon « sommeil »
Bientôt, je ne pus plus faire semblant de dormir et Jacques, qui sen étais sans doute rendu compte, me dit tout bas : « Pousse toi
», pour pouvoir sallonger près de moi
ce que je fis aussitôt.
Dès lors Jacques, tout en continuant sa caresse précise sur mon gland humide, se mit à membrasser à pleine bouche. Il avait la salive et lhaleine fraîches, et son baiser me fis fondre littéralement, et je me suis lové tout contre lui, mattaquant à mon tour à son pyjama qui fut bientôt sur le sol, suivit du mien dailleurs. Nos jeunes corps se frottaient lun à lautre et se caressaient avec un plaisir évident
Jacques, visiblement, nen était pas à sa première expérience, mais sa douceur mépatait et me rendait fou
Je me mis à lexplorer de mes lèvres, et bientôt je dégustai son jeune membre, solide mais pas trop gros, agréable au possible dans ma bouche qui semblait le connaître depuis toujours
Nous continuâmes longtemps nos caresses mutuellement, tout en surveillant le calme de linfirmerie et la respiration de Damien qui restait régulière
Bientôt, Jacques menfourchant, après sêtre lubrifié de salive, sembrocha doucement sur mon membre dressé et, sappuyant sur mes genoux repliés, commença un mouvement de va et vient vers le haut à un rythme qui semblait lui convenir
comme à moi dailleurs !
A ce régime, il ne fallut pas longtemps pour quil me fasse jouir et que je linonde de ma jeune semence, dont il récolta une partie pour me lubrifier lanus et, plaçant mes jambes sur ses épaules à la manière du Sergent, membrocher doucement à son tour.
Sa manière à lui, toute en douceur toujours, me plu infiniment et je crois bien que cest à ce moment que je suis tombé amoureux de Jacques
pour un bon moment !
Lui navait pas lair de sennuyer non plus avec moi, et ses mouvements sétant tout à coup faits plus véhéments, il gémit de plaisir tandis quil minondait de longs jets chauds à lintérieur de moi, pour mon plus grand plaisir
Encore une fois, cétait heureusement bien avant que napparaisse le sida qui est venu gâcher pas mal de plaisirs, hélas. Nous navions donc pas besoin de « protections » à lépoque, et en profitions pleinement !
Le lendemain et les nuits suivantes, Jacques et moi avions approfondi notre complicité de telle manière que Damien avait lair de se poser des questions
La dernière nuit était donc arrivée et Jacques mavait à peine rejoint dans mon lit que jentendis la voix de Damien demander : « Je peux jouer avec vous ? ».
Difficile de refuser ça !... Et nous fîmes donc une petite place à Damien. Nous nous sommes mis, Jacques et moi, à le caresser tous les deux de telle manière quil ne mit pas plus de trois minutes avant de jouir abondamment sur son ventre, placé quil était entre nous ! Il sexcusa de son inexpérience, nous avouant que cétait « la première fois », et quil navait jamais « fait ça » avec personne, ni fille ni garçon
Dès lors, émoustillés par cet aveu dinnocence, nous nous mîmes sans tarder à initier notre camarade pour quen une nuit il nignorât plus rien de ce quil était possible de faire, entre garçons en tous cas !..
Damien sétant avéré bon élève, nous avons passé là une des nuits les plus torrides de ma jeunesse, car nous navions plus à faire attention à réveiller personne, seuls dans cette infirmerie !...
Nos aventures ne se sont pas arrêtées là
mais il faut en laisser pour une autre fois, pas vrai ? C'est quand VOUS voudrez...
Jacques et moi, nous filions le « parfait amour » depuis notre aventure de linfirmerie
mais très sporadiquement, car nous nétions pas dans la même chambrée, même si cétait la même Compagnie.
Nous étions donc obligés de trouver des lieux et des occasions au petit bonheur la chance
Or, nous approchions de la fête de Noël, et je ne sais plus qui a lancé lidée dune grande fête laprès midi de Noël, durant un goûter donné à cette occasion. Il sagirait dun concours, en quelque sorte, doté de quelques prix pour loccasion, comme une montre, un appareil photo, etc. Le premier prix devant être une permission spéciale de trois jours !
Javais imaginé de monter un spectacle de danse intitulé « Les Blue Bell Girls », me réservant, évidemment le rôle de danseuse étoile !
Jai décidé quelques copains, dont Jacques et Damien, à tenter laventure et cela nous donnait loccasion de « répétitions » de notre danse, sur une musique genre « danse du ventre », vous pouvez imaginer
Par ailleurs, nous devions aussi confectionner nos tenues, pour lesquelles nous avions dégotté de vieux rideaux de voiles, et des tentures de brocart vertes, qui firent se splendides « jupes fendues » pour mes « collègues » danseuses, tandis que je me réservais une tenue toute en voiles ne cachant quun maillot de bain. Pour le haut, des soutiens-gorge de voiles rembourrés feraient laffaire.
Toute cette effervescence nous donnait, à Jacques et moi, des occasions de nous retrouver dans le local désaffecté qui nous avait été octroyé pour préparer notre numéro. Il sagissait dune petite chambre de sous-officier qui ne serait pas occupée avant janvier, dans un bâtiment proche du nôtre, mais plus calme et où nous étions tranquilles. Evidemment, nous étions rarement seuls puisque nous étions cinq « danseuses »
Pourtant, il arriva quelquefois que nous soyons seulement trois, avec Jacques et Damien, les deux autres nayant pas toujours le même horaire que nous. Nous en profitions alors pour prolonger nos jeux de linfirmerie et Damien semblait prendre goût à ce que nous lui apprenions, Jacques et moi...
Il nignora bientôt plus rien dune pipe rapide et juteuse
fumée au plus grand plaisir du partenaire, dun « 69 » ou autre « feuille de rose »
et jen passe !
Il est évident cependant que Jacques et moi aurions voulu nous retrouver parfois en tête à tête, mais loccasion ne se présentait pas encore, Damien nous étant un précieux paravent, aussi, quant aux rumeurs qui auraient pu se murmurer si nous navions été que deux
Le numéro se précisait et était drôle quand à mes collègues, plutôt poilus, dont un barbu dailleurs, sauf moi-même qui essayait dêtre convainquant dans le rôle : il paraît que javais un coup de reins digne du moyen orient !...
Vint laprès-midi de Noël où, enfin, nous allions pouvoir concourir avec des numéros de prestidigitation, jonglage et autre jeu de devinettes
Nous venions en dernier lieu, le passage ayant été tiré au sort, et jaimais autant ça : la surprise nen serait que plus grande quand jentrerais en scène, maquillée comme une vraie professionnelle. Mes « copines » devaient dabord « chauffer » la salle sans moi, levant la jambe en cadence sur un air de « french cancan », qui savéra rigolo par la chute de lun, et la perte de ses faux seins de lautre
Quand jentrai en scène, la musique changeant radicalement, des applaudissements et des sifflements fournis me prouvèrent que beaucoup y croyaient ! Je nétais pas peu fier !...
Nous eûmes une « standing ovation » formidable à lissue de notre numéro quand, enlevant nos artifices faits de turbans, car nous navions pas trouvé de perruques, et nos seins de voiles rembourrés.
Plus dun avait cru que jétais une vraie fille et mon effeuillage, presque un strip-tease, fut une petite ajoute personnelle que jajoutai en impromptu, mais qui provoqua des battements de main en cadence, pensant quils allaient découvrir tout autre chose sans doute ! Quand je fus en caleçon de bain, encore tout maquillé, même mes « danseuses » applaudissaient et cest nous qui avons gagné le premier prix, sans contestation possible !
Lofficier du « Welfare » qui nous félicita me regardait avec des yeux particulièrement brillants, ce que je nai pas remarqué sur le moment, mais que me signala Jacques par après disant quil « me déshabillait du regard », littéralement ! Sur linstant, je ny fis pas attention
Le soir même, après le souper et la Messe du soir à laquelle javais tenu à aller, Jacques me proposa une petite promenade du côté des garages où il pensait que nous pourrions trouver un petit coin pour nous deux
Aussitôt dit, aussitôt fait, et nous voilà en route pour les garages, oubliant presque la sentinelle qui était chargée de garder les véhicules ! Heureusement, il ny avait quune seule sentinelle pour trois garage, et nous parvinrent à nous faufiler facilement après son passage, en la surveillant de loin. Jacques mentraîna alors vers un véhicule quelque peu hors du commun qui se révéla être un espèce de petit bus haut sur patte, avec de larges coussins de cuir, destiné à emmener les officiers supérieurs sur le terrain en cas de manuvres !... Rien que ça ! Si nous avions été surpris là-dedans à poils comme nous létions après quelques instants, nous serions probablement passés en conseil de guerre !...
Toujours est-il que notre inconscience, et la complicité de Cupidon peut-être, fit que la sentinelle ne sest jamais doutée de rien, tandis que Jacques et moi nous livrions à notre plus belle partie de jambes en lair qui se puisse voir ce soir-là sans doute à notre caserne !...
Nous avions faim lun de lautre depuis linfirmerie, et là nous navions pas Damien pour tenir la chandelle, ce dont nous avons profité pleinement
Jacques ne mavait jamais fait lamour comme cela, me prenant « par tous les trous », comme il disait un peu vulgairement, et moi lui répondant de même, tout aussi gourmand de son corps que lui du mien
Ce fut ma plus belle nuit de Noël de cette époque, nen déplaise trop à Dieu qui me pardonne cela !...
Militaire, oui mais
(5)
A quelques temps de là, nous avons eu un cours de « tactique »
avec le même jeune Capitaine qui avait joué le rôle dofficier de Welfare laprès-midi de Noël.
Je mappliquais à essayer de répondre à ses questions et je me demandais pourquoi il revenait si souvent à moi quand Jacques, qui était assis avec moi sur le même banc, me chuchota : « Il na dyeux que pour toi ! Ma parole, tu as dû le rendre fou, lautre jour !... », ce qui me fis rire, sans plus.
Pourtant, à la fin du cours, le Capitaine me dit de rester car « il avait quelques remarques à me faire »
Déjà lun ou lautre avait lair de me plaindre, me faisant la grimace en sortant, tandis que Jacques se contenta dun clin dil complice et dun petit sourire en coin !
Il se révéla vite que cétait lui qui avait raison : à peine la porte fermée sur mon dernier camarade, le Capitaine fit faire un tour à la clé et sapprocha de moi lil brillant :
- Alors, mon garçon ! Vous semblez moins fort en tactique quen danse, il me semble ?...
- Peut-être bien, oui, mon Capitaine
Excusez-moi.
- Voyons cela
Pour vous punir, pourriez-vous me refaire, sans musique, votre petit numéro de lautre jour ?
- Ma foi, mon Capitaine
je peux essayer, balbutiai-je, craintif.
- Allons, détendez-vous, mon garçon ! Je ne vous veux que du bien ! me susurre-t-il encore, la lèvre gourmande. Allez-y !...
Du coup, me voilà obligé, en uniforme, de commencer à onduler de la croupe !... Exercice on ne peut plus difficile, je vous lassure !... Mais le Capitaine mencourageait :
- Très bien !... Continuez, mon garçon ! Et pour être plus à laise, refaites-moi donc ce strip-tease comme lautre jour
Jeus vite compris quil voulait un spectacle pour lui tout seul
et je ne fut pas peu surpris quand il mit en route un magnétophone dans un coin de la pièce, diffusant une musique des plus langoureuse sur laquelle je lui fis le plus savant des strips que je puisse faire à lépoque !...
Débarrassé de mes guêtrons, bottines et bas, jattaquai le haut en commençant par mon ceinturon, mon battle-dress, puis suivi ma chemise
Mon pantalon mit un moment à tomber, lancé au loin du bout dun orteil savant du style « plus lascif que ça tu meurs » !
Il ne restait plus que mon maillot de corps qui se souleva lentement, tandis que je voyais le Capitaine se trémousser dans son froc, cachant difficilement une bosse qui gonflait dans celui-ci !
Quand il ne resta plus que mon slip, je me suis retourné, pour que mon joli cul achève de le faire bander, tandis que mon slip glissait lentement vers mes pieds
Lorsque je me retournais enfin, le Capitaine était tout près de moi, le pantalon sur les godasses, lair un peu ridicule, mais avec en main un engin quelque peu effrayant par sa taille !
Mes mains cachaient encore mon sexe, mais les siennes les écartèrent doucement pour admirer mon jeune corps en entier
- Que tu es beau ! dit-il, tombant à genoux devant moi et avalant mon sexe dun coup, le faisant bientôt grandir dans sa bouche gourmande
- Oh, mon Capitaine
fis-je bientôt en gémissant.
- Appelle-moi Léon !... répondit-il en se redressant et membrassant tout en me branlant vigoureusement tandis quil guidait ma main vers son sexe énorme pour que je fisse de même.
Sentant sans doute quil allait jouir, il poussa ma tête vers son sexe et ma bouche fut emplie dun coup : heureusement quil me restait le nez pour respirer !...
Ses coups de boutoir ne durèrent pas, mais ma bouche eu du mal à ingurgiter la manne qui lui était bientôt offerte
A son tour, et de bonne grâce, mon gentil Capitaine sagenouilla à nouveau pour une pipe magistrale comme on ma rarement fait
- Oh, Léon
pouvais-je tout juste lencourager en gémissant.
Il ne fallut pas longtemps pour quà mon tour je lui jouisse dans la bouche quil avait si accueillante et gourmande, dailleurs, car il nen laissa pas une goûte de mon élixir de jeunesse !...
- Eh bien mon garçon !... Comment tappelles-tu en fait ?
- Alexandre, mon Capitaine !...
- Léon, je tai dis
précisa-t-il en me caressant la joue avant de membrasser une dernière fois à pleine bouche.
- Mmmm
fis-je.
- Voilà ! dit-il encore en se rajustant enfin. Eh bien, Alex, jespère que nous nous reverrons bientôt ?
- Comme il vous plaira, mon
Léon ! fis-je toujours intimidé.
- Tiens, mon ordonnance sera démobilisé fin de ce mois
Cela te plairait-il que je fasse en sorte que tu le remplaces ?
- Ma foi
Ce sera sûrement un plaisir
Léon.
- Bien, Alex !... Alors, laisse-moi arranger cela avec lEtat-Major du Régiment et tu verras ainsi que jai le bras long !
- Merci Léon !... fut ma réponse ce jour-là, car je nimaginais pas que pu être parfois un enfer de solitude que la vie dune ordonnance dun officier
Mais
il y avait aussi pas mal davantages, que je vous conterez peut-être une autre fois ?
Jétais à présent lordonnance du Capitaine Léon T
depuis quelques jours.
Le Capitaine devait avoir une trentaine dannées, des cheveux bouclés noirs et une moustache noire également, qui lui donnait un air martial et un peu sévère parfois
sauf avec moi à qui il savait sourire si gentiment !...
Il avait lair fou de moi, et les premiers jours jen oubliais presque mon ami Jacques
tellement les nuits avec le beau Capitaine étaient torrides !
Il avait un petit appartement au quartier des officiers, étant un des quelques officiers célibataires que comptait le Régiment. Javais donc une chambre personnelle dans cet appartement, et Léon la sienne, mais cest dans cette seconde, quoccupait un grand lit de deux personnes, que nos ébats avaient lieu
Léon T
était un amant parfait, très doux, même « équipé » quil était dun engin qui aurait pu me faire peur, au début
Sa douceur lui faisait prendre avec moi des égards que bien des jeunes filles auraient aimées se voir attribuées par leurs jeunes amants !... Je ne regrettais donc rien durant une quinzaine de jours avant que mon ami Jacques vint à me manquer tout de même !
Comme jétais assez libre, le Capitaine nétant pas avec moi très exigeant en dehors de lentretien de « notre » appartement et de ses bottes de cheval et autres bottines, ceinturons etc., je pouvais aller et venir à mon gré dans la caserne, libre désormais de toutes corvées hors du service de mon Capitaine
Au cours dune promenade, jai rencontré Jacques qui revenait de la cantine, un peu éméché, car il avait bu, me dit-il, pour se consoler de ma défection.
Lui riant au nez, je lui ai proposé de lemmener chez mon Capitaine, sachant que celui-ci, invité par des amis, rentrerait probablement fort tard
Dès lors, les choses senchaînèrent rapidement, mon Jacques étant super excité par la perspective de faire lamour avec moi une fois de plus
mais cette fois, nous allions, sans vergogne, profiter du grand lit de Léon, mon Capitaine et amant attitré !...
Il ne fallut pas longtemps pour que nous soyons nus comme des vers sur le lit de Léon, plus accueillant que le mien et que je referais tout à lheure avant quil rentre
Nos corps se reconnaissaient avec une joie particulière, tant ils semblaient faits lun pour lautre !... Jacques, surtout, privé de chair depuis notre nuit de Noël dans le véhicule de commandement, semblait affamé de moi plus que de raison. Il me possédait avec rage, comme pour effacer les traces de ce quun autre lui avait pris
et je compris là quil était jaloux de mon beau Capitaine !...
- Mon Jacquot, lui fis-je !... Tu me laboures les flans comme si tu ne devais jamais me revoir, mamour ?... Serais-tu jaloux de Léon ?
- Parce que tu lappelles Léon, en plus ? fit-il, vexé.
- Mais pourquoi pas, puisquil me lordonne ?... ris-je.
- Ce nest pas drôle ! fit-il, boudeur.
- Mais mon Jacquot
veux-tu que jessaie de lui demander de te trouver une place ici, au Mess des officiers, ou comme ordonnance dun de ses compagnons darmes ?
Jacques neut pas le temps de répondre que jentendis une voix répondre sur le seuil de la porte :
- Cela ne me semble pas une mauvaise idée !...
Jacques et moi, nous sautâmes sur nos pieds pour nous mettre au garde-à-vous
ce qui devait être assez drôle car mon Capitaine se mit à rire, tout en sécartant pour laissez apparaître un personnage que nous navions pas encore remarqué, soit un jeune Lieutenant arrivé depuis peu au Régiment et qui semblait tout droit sorti de lécole militaire !...
- Que pensez-vous de ça, Lieutenant ?
- Ma foi, mon Capitaine, cest là un tableau assez, comment dire
étonnant si lon sait quil sagit là de votre chambre, non ?
- En effet, mon ami, en effet
Mais laissez-moi vous présenter Alex, mon ordonnance et son ami qui se nomme, lui ?
- Ja
Jacques, mon Capitaine ! bredouillais-je.
- Voyez-vous ça !... Jacques et Alex
Alex et Jacques ! Vous savez que vous êtes mignons, tous les deux ? Que pensez-vous dassister au spectacle des amours de ces jeunes gens, Lieutenant ? Mon ordonnance est très douée pour les planches, je vous lai déjà dit, je crois ?
- En effet, mon Capitaine, et je serais curieux de voir cela
Mais je nous avance des sièges, non ? dit-il en se saisissant de deux chaises qui étaient contre le mur pour les approcher au plus près du spectacle
- Bien, Lieutenant ! Bonne idée, en effet !... Allez, mes gaillards, dit-il encore en sadressant à Jacques et à moi, quattendez-vous pour nous faire une démonstration de vos talents ?
Que pouvions-nous faire dautre, mon amant et moi que de nous exécuter ?
Dabord intimidés par ces yeux qui nous épiaient, Jacques et moi avons repris nos ébats, faisant bientôt abstraction de nos deux voyeurs, emportés que nous étions par notre fort penchant lun pour lautre
Quelques temps plus tard, pourtant, je devais me rendre compte que dautres mains que celles de Jacques seul soccupaient de moi : de simples spectateurs, nos deux officiers navaient pu sempêcher de quitter leur poste pour participer aux ébats
Aussi nus que Jacques et moi, à présent, cest en « partie carrée » que la soirée devait se terminer !
Javais une queue en bouche, une autre membrochait gentiment, tandis quune bouche très douce soccupait de mon vît, sans que je sache laquelle : le Lieutenant sans doute, car je ne connaissais pas cette façon de faire de la langue et du bout des lèvres comme il le faisait
Bientôt, les rôles changèrent, et une tournante infernale, digne des pires bacchanales, nous occupa une bonne partie de la nuit
ce qui rendit Jacques absent à lappel « au pied du lit » à 10h du soir !
Heureusement, le lendemain, le Capitaine avait tout arrangé disant quil lavait réquisitionné pour « une corvée »
et Jacques devenait, trois jours plus tard, lordonnance désignée du jeune Lieutenant !
Mais cest là une autre histoire
que je vous conterai sans doute ?
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